Record ID | harvard_bibliographic_metadata/ab.bib.14.20150123.full.mrc:258507350:1576 |
Source | harvard_bibliographic_metadata |
Download Link | /show-records/harvard_bibliographic_metadata/ab.bib.14.20150123.full.mrc:258507350:1576?format=raw |
LEADER: 01576nam a22002535i 450
001 014192700-3
005 20141107195543.0
008 140513s1998 fr go b fre
020 $a2738461158
040 $bfre
100 1 $aTextes réunis par Jean Lauxerois et Peter Szendy.
245 10 $aDE LA DIFFERENCE DES ARTS
260 $aParis :
260 $bEditions L'Harmattan,
260 $c1998
300 $a352 p.
365 $b25.95$cEUR
500 $aTextes réunis par Jean Lauxerois et Peter Szendy
520 $aDifférence des arts, et non plus correspondance des arts ? Les catégories grecques de l'harmonie et de l'analogie parviendront jusqu'au Romantisme, via Plotin et la théologie médiévale, sous le nom de la correspondance. Si bien que jusqu'à nous, ce sont l'unité et la synthèse qui forment l'horizon de toute théorie esthétique et pratique artistique - informant aussi bien le Gesamtkonstwerk wagnérien que le projet du Bauhaus, ou encore, plus près de nous, le centre Georges-Pompidou. Il s'agirait aujourd'hui de reprendre la question non seulement à partir de la pluralité des arts, mais aussi à partir de leur différence. Pourquoi y a-t-il plusieurs arts et non un seul ? Y a-t-il une unité de l'art qui transcenderait tous les genres ? Si tel n'était pas le cas, y aurait-il encore une unité de chaque art, c'est-à-dire une limite qui le configure et sépare des autres ?
538 $aMode of access: World Wide Web.
690 4 $aArts, Esthétique, Vie Culturelle;
730 0 $aHarmatheque.$5net
988 $a20141001
906 $0MH