Record ID | marc_columbia/Columbia-extract-20221130-019.mrc:44328663:3447 |
Source | marc_columbia |
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090 $aND813.V4$bA68 2011
100 1 $aPiot, Cyrille,$d1956-
245 14 $aLes Ménines de Vélasquez :$bune théologie de la peinture /$cCyrille Piot.
260 $aParis :$bThalia,$cc2011.
300 $a181 p. :$bcol. ill. ;$c24 cm.
490 1 $aRegards
504 $aIncludes bibliographical references.
505 00 $g1.$tL'enfance de Vélasquez 1599-1609 --$g2.$tLes années d'apprentissage 1609-1617 --$g3.$tLes débuts de Vélasquez à Séville 1617-1622 --$g4.$tVélasquez à Madrid 1622-1623 --$g5.$tL'Espagne du XVIIe siècle : un empire fragile --$g6.$tLa cour de Philippe IV : une monarchie en crise --$g7.$tVélasquez, peintre de cour 1623-1660 --$g8.$tL'art de Vélasquez --$g9.$tVélasquez courtisan 1627 ? 1660 --$g10.$tLe deuxième voyage de Vélasquez à Rome 1649-1651 --$g11.$tLes Ménines, "une théologie de la peinture" 1656-1659 --$g12.$tÉpilogue 1659-2009
520 $a"Les Ménines, le chef d'oeuvre de Vélasquez, c'est "une théologie de la peinture" selon le peintre Luca Giordano. Il y voyait, en effet, la forme la plus accomplie de confrontation mentale et philosophique de l'homme et de la peinture. Ce tableau a été peint en 1656 puis remanié en 1658 et 1659, dates auxquelles il a pris son apparence actuelle. Comment Diego Vélasquez, le peintre préféré du roi Philippe IV, cet homme lisse et conventionnel a-t-il osé défier la rigide étiquette de la cour des Habsbourg d'Espagne en se représentant au côté de la famille royale ? Il s'agissait pour lui de faire reconnaître l'importance de sa peinture et de lui permettre d'accéder ainsi au titre de Chevalier de l'ordre de Saint-Jacques. Cette toile allait dépasser son projet personnel et faire entrer la peinture dans la catégorie des arts majeurs. C'est bien là l'une des singularités de ce tableau. En partant d'un problème personnel pour lequel il propose une solution qui lui est propre, il parvient, à son insu, à l'universel et définit la place de la peinture dans une société. Diego Vélasquez, lisse et conventionnel ? Selon l'historien Ortega y Gasset, Vélasquez n'aurait eu de toute sa vie "qu'une seule femme, un seul ami, le roi Philippe IV et qu'un seul atelier, le palais." Et pourtant, c'est aussi ce même homme qui aura une relation avec l'un de ses modèles, à Rome. De cette liaison naîtra un enfant qu'il ne verra du reste jamais... C'est à un singulier voyage que ce livre convie le lecteur, un voyage à l'intérieur d'un tableau, l'un des plus célèbres de notre culture, qui ne peut s'appréhender que si l'on connaît, par ailleurs, la vie du peintre, sa trajectoire sociale, ainsi que le monde dans lequel il évoluait, la cour du roi Philippe IV et l'Espagne du XVIIIe siècle."--P. [4] of cover.
600 10 $aVelázquez, Diego,$d1599-1660.$tMaids of honor$xCriticism and interpretation.
653 $aClassical Spanish painting$a17th century$aCriticism
830 0 $aRegards.
852 00 $boff,fax$hND813.V4$iA68 2011g