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This work is concerned with the enigma of the epsilon (E) which was carved at the entrance of the Temple of Delphes in ancient Greece. The author relates to a document produced by Professor Boris Rybak in "L'identité humaine" (1990, Michel Place ed., Paris), which traces the epsilon back to its Aegyptian Hieroglyphic source via the Proto-Sinaitic script and the ancient Hebrew script. The enigma dating 2.000 years back and evoked by Plutarch, may be considered solved (see the demonstration itself in the book) thus making a great contribution to science.
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Subjects
Epsilon (The Greek letter), Signs and symbols, arbitrarité du signe, l'identité humaine, contribution à l'étude de l'arbitrarité du signe, Greek language, Alphabet, Greek script, Boris Rybak, Delphes, Delphic Sibyl, oracle de Delphes, Pythie, Plutarque, PlutarchPeople
Boris Rybak, PlutarchTimes
ancient Greece, Greek AntiquityEdition | Availability |
---|---|
1
L' énigme de l'epsilon de Delphes: Le passé dévoilé.
1997, Dossiers d'Aquitaine et d'ailleurs
in French
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aaaa
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Book Details
Edition Notes
Cover title.
Errata slip inserted.
Includes bibliographical references.
The Physical Object
Edition Identifiers
Work Identifiers
Excerpts
[display of a figure extracted from « L’identité humaine » and « Contribution à l’étude de l’arbitrarité du signe », showing the main steps in the destructuration occurring from the hieroglyphs to proto-Sinaitic/proto-Cananean, then to ancient Hebrew, then ancient Greek].
Plutarque se demande pourquoi un E orne l’entrée du temple du plus célèbre oracle de Grèce. Cet epsilon remonte, dit-il, aux temps archaïques. Il avait d’abord été en bois, puis les Athéniens en offrirent un en bronze (749 avt JC), et Livie en donna un en or (71 avt JC).
Plutarque pensait que cet E était l’initiale d’un mot grec, et que, si ce mot était trouvé, l’énigme serait résolue.
Or, quel sens premier a le hiéroglyphe à l’origine de l’epsilon grec, représentant un personnage aux bras levés ? Celui d’un « cri de joie » ; joie de la communication avec le divin. Champollion aussi a compris la joie pour le sens de ce signe. Le personnage a les bras levés vers le ciel ; dans l’acception sacrée, cela signifie l’élévation de l’âme, la prière. C’était en effet la position de la prière chez les Hébreux, cf. Psaume 141 : «Que ma prière soit devant ta face comme l'encens, et l'élévation de mes mains comme l'offrande du soir».
Pensons au sens que donnent les Hébreux à leur « hé », ancêtre de l’epsilon: "souffle". Nous pouvons entendre ce é/ hé/ E en faisant pénétrer l’air dans nos poumons ou en le rejetant ; « hé » est donc bien le symbole du souffle, ici du souffle divin qui inspire l’être humain. Or à Delphes, que faisait Apollon ? Il inspirait des oracles à la Pythie : dans la tradition grecque, c’est grâce au souffle divin qu’elle accède à la pensée d’Apollon. Quel signe convenait donc mieux que l’E à l’entrée du Temple de l’oracle ?
Les Hellènes avaient perdu le sens originel de ces lettres étrangères dont dérivait leur alphabet: c’est grâce à la mémoire merveilleuse des descendants des Hébreux, et au tableau produit par l’éminent érudit : Boris Rybak, que j’ai pu saisir le fil conducteur.
Plutarque se demande pourquoi un E orne l’entrée du temple du plus célèbre oracle de Grèce. Cet epsilon remonte, dit-il, aux temps archaïques. Il avait d’abord été en bois, puis les Athéniens en offrirent un en bronze (749 avt JC), et Livie en donna un en or (71 avt JC).
Plutarque pensait que cet E était l’initiale d’un mot grec, et que, si ce mot était trouvé, l’énigme serait résolue.
Or, quel sens premier a le hiéroglyphe à l’origine de l’epsilon grec, représentant un personnage aux bras levés ? Celui d’un « cri de joie » ; joie de la communication avec le divin. Champollion aussi a compris la joie pour le sens de ce signe. Le personnage a les bras levés vers le ciel ; dans l’acception sacrée, cela signifie l’élévation de l’âme, la prière. C’était en effet la position de la prière chez les Hébreux, cf. Psaume 141 : «Que ma prière soit devant ta face comme l'encens, et l'élévation de mes mains comme l'offrande du soir».
Pensons au sens que donnent les Hébreux à leur « hé », ancêtre de l’epsilon: "souffle". Nous pouvons entendre ce é/ hé/ E en faisant pénétrer l’air dans nos poumons ou en le rejetant ; « hé » est donc bien le symbole du souffle, ici du souffle divin qui inspire l’être humain. Or à Delphes, que faisait Apollon ? Il inspirait des oracles à la Pythie : dans la tradition grecque, c’est grâce au souffle divin qu’elle accède à la pensée d’Apollon. Quel signe convenait donc mieux que l’E à l’entrée du Temple de l’oracle ?
Les Hellènes avaient perdu le sens originel de ces lettres étrangères dont dérivait leur alphabet: c’est grâce à la mémoire merveilleuse des descendants des Hébreux, et au tableau produit par l’éminent érudit : Boris Rybak, que j’ai pu saisir le fil conducteur.
added by msk.
gives the main lines of the demonstration.
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September 14, 2014 | Edited by msk | Edited without comment. |
April 30, 2014 | Edited by msk | Edited without comment. |
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