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Incapable de supporter plus longtemps la liaison que son mari entretient, Mia, part s'installer chez sa mère. Elle y découvre la confusion des sentiments et les rivalités à l'oeuvre chez les adolescents qu'elle a accepté, le temps d'un été, d'initier à la poésie.
Lorsque, après trente ans de mariage, Boris prononce le tant redouté mot pause, Mia, poétesse en mal de reconnaissance, bascule dans la folie, le temps d?une fulgurante?bouffée délirante? qui lui vaut un torpide séjour en hôpital psychiatrique. Car cette pause recouvre une réalité douloureuse : elle s?incarne en la personne d?une jeune et fraîche neuroscientifique à la poitrine éloquente, collègue de Boris devenue sa maîtresse. Privée de la maîtrise des événements puisqu?elle subit l?infidélité de son mari et sa volonté de?faire une pause?, le coeur à vif, d?autant plus accablée que l?harmonie et l?amour avaient toujours régné dans leur couple, et incapable de rester un instant de plus dans un appartement imprégné de leur vie à deux, Mia quitte New York pour aller passer l?été dans son village natal du Minnesota profond, à deux pas de la maison de retraite où vit sa mère depuis la mort du père. Mia rejoint donc Bonden comme on part en convalescence. Cette coupure est l?occasion pour elle, au-delà du simple fait de s?éloigner de l?épicentre du tremblement de terre qui a ravagé sa vie, de se retrouver avec elle-même, de prendre le temps de la réflexion et, chose inattendue, d?aller de découverte en découverte. Ainsi fait-elle la connaissance de sa voisine, Lola, jeune mère de deux enfants fréquemment délaissée par un mari colérique et pour le moins instable, et lie avec elle une amitié sincère, née d?une solidarité féminine tacite et qui représente pour toutes deux autant d?occasions de dépasser leur peine, de rire et de se libérer. Un deuxième cercle féminin se dessine autour de Mia et des sept adolescentes inscrites à l?atelier de poésie qu?elle a accepté d?animer pendant l?été. Au fil des séances, ces jeunes filles, peu coutumières de l?exercice poétique et davantage préoccupées par les garçons, à l?heure des premiers émois amoureux, se mettent à jouer le jeu des mots et se livrent peu à peu, laissant entrevoir les classiques questionnements, conflits et rivalités de l?adolescence. Emue par ce qui ressemble fort à une persécution de l?une des filles du groupe par les six autres, Mia va tenter une forme de médiation par l?écrit, autour d?un jeu de rôles et d?écriture qui mènera chacune à repenser son attitude, sa place, et à s?interroger sur l?identité et l?altérité. A l?autre bout du fil de l?existence, Mia gravite dans la sphère du pétillant quintette d?octogénaires qui a pris ses quartiers à la maison de retraite de Bonden et dont fait bien entendu partie sa mère. Bien que menacées, comme toute personne âgée qui se respecte, par les chutes et l?Alzheimer, ces joyeuses veuves ont en commun une force de caractère qui les démarque des autres. Elles ont un regard différent sur la vie, elles sont libres, rayonnantes, savourent chaque instant et ont appris à vivre heureuses sans leur mari. Mia se régale de leurs histoires, resserre les liens avec sa mère et devient la confidente de la plus espiègle des cinq, Abigail, qui ira jusqu?à lui confier ses plus grands secrets. A un tournant de son existence, à la croisée des chemins, en observatrice attentive de tous les âges de la vie, Mia, nourrie de poésie et de philosophie, interroge son parcours de femme, pose un regard tantôt amusé tantôt amer sur son passé et se livre à une véritable introspection. Grâce à cette parenthèse féminine et féministe, Mia s?ouvre à une nouvelle vision des choses et se découvre. Un moment d?intimité avec ces femmes, articulé autour d?une réflexion dont l?érudition nourrit le plaisir que prendront toutes les générations à la lecture de ce roman solaire.
Lorsque, après trente ans de mariage, Boris prononce le tant redouté mot pause, Mia, poétesse en mal de reconnaissance, bascule dans la folie, le temps d'une fulgurante?bouffée délirante? qui lui vaut un torpide séjour en hôpital psychiatrique. Car cette pause recouvre une réalité douloureuse : elle s'incarne en la personne d'une jeune et fraîche neuroscientifique à la poitrine éloquente, collègue de Boris devenue sa maîtresse. Privée de la maîtrise des événements puisqu'elle subit l'infidélité de son mari et sa volonté de?faire une pause?, le coeur à vif, d'autant plus accablée que l'harmonie et l'amour avaient toujours régné dans leur couple, et incapable de rester un instant de plus dans un appartement imprégné de leur vie à deux, Mia quitte New York pour aller passer l'été dans son village natal du Minnesota profond, à deux pas de la maison de retraite où vit sa mère depuis la mort du père. Mia rejoint donc Bonden comme on part en convalescence. Cette coupure est l'occasion pour elle, au-delà du simple fait de s'éloigner de l'épicentre du tremblement de terre qui a ravagé sa vie, de se retrouver avec elle-même, de prendre le temps de la réflexion et, chose inattendue, d'aller de découverte en découverte. Ainsi fait-elle la connaissance de sa voisine, Lola, jeune mère de deux enfants fréquemment délaissée par un mari colérique et pour le moins instable, et lie avec elle une amitié sincère, née d'une solidarité féminine tacite et qui représente pour toutes deux autant d'occasions de dépasser leur peine, de rire et de se libérer. Un deuxième cercle féminin se dessine autour de Mia et des sept adolescentes inscrites à l'atelier de poésie qu'elle a accepté d'animer pendant l'été. Au fil des séances, ces jeunes filles, peu coutumières de l'exercice poétique et davantage préoccupées par les garçons, à l'heure des premiers émois amoureux, se mettent à jouer le jeu des mots et se livrent peu à peu, laissant entrevoir les classiques questionnements, conflits et rivalités de l'adolescence. Emue par ce qui ressemble fort à une persécution de l'une des filles du groupe par les six autres, Mia va tenter une forme de médiation par l'écrit, autour d'un jeu de rôles et d'écriture qui mènera chacune à repenser son attitude, sa place, et à s'interroger sur l'identité et l'altérité. A l'autre bout du fil de l'existence, Mia gravite dans la sphère du pétillant quintette d'octogénaires qui a pris ses quartiers à la maison de retraite de Bonden et dont fait bien entendu partie sa mère. Bien que menacées, comme toute personne âgée qui se respecte, par les chutes et l'Alzheimer, ces joyeuses veuves ont en commun une force de caractère qui les démarque des autres. Elles ont un regard différent sur la vie, elles sont libres, rayonnantes, savourent chaque instant et ont appris à vivre heureuses sans leur mari. Mia se régale de leurs histoires, resserre les liens avec sa mère et devient la confidente de la plus espiègle des cinq, Abigail, qui ira jusqu'à lui confier ses plus grands secrets. A un tournant de son existence, à la croisée des chemins, en observatrice attentive de tous les âges de la vie, Mia, nourrie de poésie et de philosophie, interroge son parcours de femme, pose un regard tantôt amusé tantôt amer sur son passé et se livre à une véritable introspection. Grâce à cette parenthèse féminine et féministe, Mia s'ouvre à une nouvelle vision des choses et se découvre. Un moment d'intimité avec ces femmes, articulé autour d'une réflexion dont l'érudition nourrit le plaisir que prendront toutes les générations à la lecture de ce roman solaire.
Privée de la maîtrise des événements puisqu'elle subit l'infidélité de son mari et sa volonté de faire une pause, le coeur à vif, d'autant plus accablée que l'harmonie et l'amour avaient toujours régné dans leur couple, et incapable de rester un instant de plus dans un appartement imprégné de leur vie à deux, Mia quitte New York pour aller passer l'été dans son village natal du Minnesota profond, à deux pas de la maison de retraite où vit sa mère depuis la mort du père. Mia rejoint donc Bonden comme on part en convalescence. Cette coupure est l'occasion pour elle, au-delà du simple fait de s'éloigner de l'épicentre du tremblement de terre qui a ravagé sa vie, de se retrouver avec elle-même, de prendre le temps de la réflexion et, chose inattendue, d'aller de découverte en découverte. Ainsi fait-elle la connaissance de sa voisine, Lola, jeune mère de deux enfants fréquemment délaissée par un mari colérique et pour le moins instable, et lie avec elle une amitié sincère, née d'une solidarité féminine tacite et qui représente pour toutes deux autant d'occasions de dépasser leur peine, de rire et de se libérer. Un deuxième cercle féminin se dessine autour de Mia et des sept adolescentes inscrites à l'atelier de poésie qu'elle a accepté d'animer pendant l'été.
Le point de vue de l'éditeur Lorsque, après trente ans de mariage, Boris prononce le tant redouté mot pause, Mia, poétesse en mal de reconnaissance, bascule dans la folie, le temps d?une fulgurante?bouffée délirante? qui lui vaut un torpide séjour en hôpital psychiatrique. Car cette pause recouvre une réalité douloureuse : elle s?incarne en la personne d?une jeune et fraîche neuroscientifique à la poitrine éloquente, collègue de Boris devenue sa maîtresse. Privée de la maîtrise des événements puisqu?elle subit l?infidélité de son mari et sa volonté de?faire une pause?, le coeur à vif, d?autant plus accablée que l?harmonie et l?amour avaient toujours régné dans leur couple, et incapable de rester un instant de plus dans un appartement imprégné de leur vie à deux, Mia quitte New York pour aller passer l?été dans son village natal du Minnesota profond, à deux pas de la maison de retraite où vit sa mère depuis la mort du père. Mia rejoint donc Bonden comme on part en convalescence. Cette coupure est l?occasion pour elle, au-delà du simple fait de s?éloigner de l?épicentre du tremblement de terre qui a ravagé sa vie, de se retrouver avec elle-même, de prendre le temps de la réflexion et, chose inattendue, d?aller de découverte en découverte. Ainsi fait-elle la connaissance de sa voisine, Lola, jeune mère de deux enfants fréquemment délaissée par un mari colérique et pour le moins instable, et lie avec elle une amitié sincère, née d?une solidarité féminine tacite et qui représente pour toutes deux autant d?occasions de dépasser leur peine, de rire et de se libérer. Un deuxième cercle féminin se dessine autour de Mia et des sept adolescentes inscrites à l?atelier de poésie qu?elle a accepté d?animer pendant l?été. Au fil des séances, ces jeunes filles, peu coutumières de l?exercice poétique et davantage préoccupées par les garçons, à l?heure des premiers émois amoureux, se mettent à jouer le jeu des mots et se livrent peu à peu, laissant entrevoir les classiques questionnements, conflits et rivalités de l?adolescence. Emue par ce qui ressemble fort à une persécution de l?une des filles du groupe par les six autres, Mia va tenter une forme de médiation par l?écrit, autour d?un jeu de rôles et d?écriture qui mènera chacune à repenser son attitude, sa place, et à s?interroger sur l?identité et l?altérité. A l?autre bout du fil de l?existence, Mia gravite dans la sphère du pétillant quintette d?octogénaires qui a pris ses quartiers à la maison de retraite de Bonden et dont fait bien entendu partie sa mère. Bien que menacées, comme toute personne âgée qui se respecte, par les chutes et l?Alzheimer, ces joyeuses veuves ont en commun une force de caractère qui les démarque des autres. Elles ont un regard différent sur la vie, elles sont libres, rayonnantes, savourent chaque instant et ont appris à vivre heureuses sans leur mari. Mia se régale de leurs histoires, resserre les liens avec sa mère et devient la confidente de la plus espiègle des cinq, Abigail, qui ira jusqu?à lui confier ses plus grands secrets. A un tournant de son existence, à la croisée des chemins, en observatrice attentive de tous les âges de la vie, Mia, nourrie de poésie et de philosophie, interroge son parcours de femme, pose un regard tantôt amusé tantôt amer sur son passé et se livre à une véritable introspection. Grâce à cette parenthèse féminine et féministe, Mia s?ouvre à une nouvelle vision des choses et se découvre. Un moment d?intimité avec ces femmes, articulé autour d?une réflexion dont l?érudition nourrit le plaisir que prendront toutes les générations à la lecture de ce roman solaire.
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Subjects
Women poets, Divorced women, Interpersonal relations, Fiction, Authors, fiction, Divorced people, fiction, Fiction, psychological, New York Times reviewed, Lyrikerin, Mittleres Lebensalter, Ehekonflikt, Reise, Identitätsfindung, 18.06 Anglo-American literature, Frånskilda kvinnor, Skönlitteratur, Kvinnliga poeter, Mänskliga relationer, Separated womenShowing 10 featured editions. View all 18 editions?
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The summer without men: a novel
2011, Picador/Henry Holt and Co.
in English
- 1st ed.
0312570600 9780312570606
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Sommeren uden mænd: roman
2011, Gyldendals Bogklubber
in Danish
- 1. bogklubudgave
8703049027 9788703049021
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The summer without men: a novel
2011, Picador/Henry Holt and Co.
in English
- 1st ed.
0312570600 9780312570606
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Book Details
Edition Notes
Traduction de: The summer without men.
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Work Description
Mia is forced to reexamine her life when her husband puts their marriage on "pause" after thirty years. She returns to the prairie town of her childhood, and is drawn into the lives of those around her.
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Feedback?July 28, 2024 | Edited by indy133 | new entry |
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